jeudi 4 juin 2020

Coronavirus: mise à jour théâtre, danse et plus (4 juin)

Un Feydeau pour se détendre, un retour de voyage surprenant, un chaos hilarant et un Sisyphe dansé pour votre plus grand plaisir!

Un billet de Robert Boisclair
Twitter: @Rob_Boisclair et @Enfantsparadis

Mise à jour théâtre, danse et plus
Sisyphe heureux: Condamné éternellement à faire rouler en haut d’une colline un rocher qui en redescend à chaque fois, Sisyphe est ce héros mythologique qui incarne pour Albert Camus la condition humaine, engagée dans une spirale sans fin. C’est cette figure que le chorégraphe François Veyrunes a choisi pour dérouler sa nouvelle pièce, Sisyphe Heureux, troisième partie d’une trilogie chorégraphique consacrée à la mythologie, après Tendre Achille et Chair Antigone. Aux côtés des six interprètes, le spectateur est invité à faire l’expérience d’un langage chorégraphique d’une grande finesse. Ce résumé est tiré du site de la 18e biennale de la danse de Lyon. À découvrir ici.

Les diablogues: En trois coups de cuillère à pot et à peine deux répliques, le quotidien bascule dans le fantastique, l'ordre cède la place au chaos le plus hilarant. À découvrir ici.

Bon retour de voyage: Un flash mob à l'arrivée des voyageurs de l'aéroport Heathrow de Londres. Un accueil comme on aimerait en recevoir... quand les vols reprendront! À découvrir ici.

Deuxième acte
Deuxième acte effectue un retour sur certaines de nos suggestions des précédentes semaines.
Une opportunité pour se retremper dans des moments agréables de notre confinement.

La Dame de chez MaximPour se détendre un tantinet, un Feydeau. Comment résumer La Dame de chez Maxim? Disons que s'y télescopent crûment, et avec une catastrophique drôlerie, les convenances les plus rigides et la licence la plus débridée. Ou encore, disons que c'est l'histoire d'un chien dans un jeu de quilles, avec dans le rôle du chien une danseuse de cabaret d'une verve et d'un entrain inoubliables, et dans le rôle du jeu de quilles, le reste du monde ou à peu près. Ou enfin, faute de pouvoir raconter dans quels labyrinthes de bouffonnerie paroxystique Feydeau entraîne son public, citons en désespoir de cause le jugement d'Henry Gidel : La Dame de chez Maxim, «c'est le Soulier de satin du vaudeville.»  À découvrir ici.

Surveillez ce blogue régulièrement pour en savoir plus et vous tenir à jour. Vous pouvez également consulter nos versions précédentes de mises à jour des activités coronavirus sur ce même blogue.

Bon théâtre et bonne danse!
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